Paroles:
Tu t’es fâché avec le temps
Tu t’essouffles à contre-courant
Sur cette place
Un coeur paumé dans cette ville
Ton corps bat la mélancolie
Et le temps passe
Le jour où tout a basculé
Les prières qui te rassuraient
Avaient déjà laissé la place
Aux silences qu’on n’a pas compris
La tendresse aurait-elle suffit ?
Et si tu penses encore
Que le bonheur se trouve ailleurs
Si la vie a tort
Pars sans rien dire
Tu ne voulais plus t’entendre dire
Que le plus beau reste à venir
Les amis s’effacent
Ils se sentent comme des étrangers
Les héros se sont défilés
Et c’est l’impasse
On pourrait s’dire qu’on a vieilli
Un café, des éclats de vie
Un bout de passé qui se casse
En espérant un signe de toi
Moi je reste plantée là
Et si tu penses encore
Que le bonheur se trouve ailleurs
Si la vie a tort
Pars sans rien dire
Pars sans rien dire
Pars sans rien dire
Ton corps bat la mélancolie
Et le temps passe
Le jour où tout a basculé
Les prières qui te rassuraient
Avaient déjà laissé la place
Aux silences qu’on n’a pas compris
La tendresse aurait-elle suffit ?
Et si tu penses encore
Que le bonheur se trouve ailleurs
Si la vie a tort
Pars sans rien dire
Tu ne voulais plus t’entendre dire
Que le plus beau reste à venir
Les amis s’effacent
Ils se sentent comme des étrangers
Les héros se sont défilés
Et c’est l’impasse
On pourrait s’dire qu’on a vieilli
Un café, des éclats de vie
Un bout de passé qui se casse
En espérant un signe de toi
Moi je reste plantée là
Et si tu penses encore
Que le bonheur se trouve ailleurs
Si la vie a tort
Pars sans rien dire
Pars sans rien dire
Pars sans rien dire
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